08 janvier 1893

Le régiment est scindé en deux et forme le 1er et 2ème RAMa. Il ne conserve que 14 batteries et assure le service des colonies pour l’Indochine et l’Océanie. Pour sa part, le 2ème RAMa assure le service des colonies pour l’Afrique et les Antilles. 

1895
Le régiment prend part à la conquête de Madagascar (7ème inscription sur l’étendard du 1er RAMa).

L’artillerie du  corps expéditionnaire est composée de trois groupes d’artillerie. L’artillerie de marine arme un groupe d’artillerie de 18 canons de 80 mm de montagne en appui de la 1ère brigade du général Voyron.

Ce groupe est armé par le 1er RAMa avec la 7ème batterie de Lorient et la 8ème batterie de Toulon. Le 2ème RAMa arme la 9ème batterie. Le groupe est commandé par le chef d’escadron Henry . .

21 juin 1900

Constitution d’un corps expéditionnaire pour secourir les légations internationales à Pékin. Le premier bataillon est fourni par les troupes stationnées en Cochinchine et va renforcer la première opération militaire interalliée. Le régiment fourni du personnel pour armer le reste du corps expéditionnaire qui appareille de Toulon en juillet 1900 et ne rejoindra le théâtre que début septembre.

07 juillet 1900

Loi portant création des Troupes coloniales. Après 280 années, quasi ininterrompue, de subordination à la Marine, les troupes de la Marine passent sous l’autorité de l’armée de Terre. La mise en œuvre de la loi est prévue le 1er janvier 1901.

1er janvier 1901

Le 1er RAMa devient le 1er RAC par application de la loi du 7 juillet 1900.

1er novembre 1902

Décret qui supprime l’école d’artillerie coloniale de Lorient existante depuis le 30 avril 1844. Chaque corps ou portion de corps de l’artillerie coloniale assure dorénavant la mission d’instruction de ses personnels.

1er janvier 1904

Suppression de la musique du régiment par mesure d’économie. Les lorientais doivent faire le deuil des concerts organisés par le régiment durant les fins de semaines.  

20 mai 1910

L’étendard du régiment reçoit la Croix de la légion d’honneur des mains du Président de la République, M. Armand Fallières. Il reçoit cette distinction pour l’ensemble de l’artillerie coloniale. C’est le premier régiment d’artillerie à recevoir cette décoration.

5 mai 1911

Le groupe d’artillerie coloniale du Maroc est formé en faisant appel à l’ensemble des 3 régiments d’artillerie coloniale. Le commandement du groupe est donné au chef d’escadron Coleno du 1er RAC. Ce groupe deviendra le Régiment d’Artillerie Coloniale du Maroc en 1925.

Novembre 1912

La réorganisation de l’artillerie entraine des mouvements d’unités élémentaires entre les régiments. C’est ainsi que les 3 batteries montées du 3ème RAC stationnés à Nîmes sont transférées à La Rochelle pour être subordonnées au 1er RAC.

Avril 1914

Une nouvelle réorganisation de l’artillerie conduit à un nouveau transfert d’unités. Les 2 batteries montées de La Rochelle sont transférées au fort de Charenton et replacées sous le commandement du 3ème RAC. La 11ème batterie à pied reste pour sa part en garnison à La Rochelle.

1914 – 1918

Le 1er RAC forme l’artillerie de la 2ème DIC (Division d’Infanterie Coloniale). Avec elle, il s’illustre lors des combats de la Marne (septembre 1914), de Champagne (1915), de la Somme (1916), de l’Aisne (1917), du Chemin des Dames (1917) et de Reims (1918). Le régiment est cité deux fois à l’ordre de l’armée et reçoit la Croix de guerre 1914-1918. (8ème et 9ème inscriptions sur l’étendard du 1er RAMa).

13 août 1918

L’étendard du 1er RAC est décoré de la fourragère aux couleurs du ruban de la Croix de Guerre 1914-1918.

1er janvier 1924

Le 1er RAC est transformé en 111ème RALC (Régiment d’Artillerie Lourde Colonial). Ce dernier régiment conserve l’étendard du 1er RAC au titre de la filiation.

1er mai 1929

Récréation du 1er RAC à Libourne par transformation du 58ème RAC. Il conserve l’étendard du 58ème RAC qui était celui du 2ème RAC au titre de la filiation.

3 septembre 1939

La France déclare la guerre à l’Allemagne. Le régiment met sur pied quatre formations :

– Le 1er RAC à 3 groupes de 75 et une batterie antichars ;
– Le 201ème RAC à un groupe de 105 et un groupe de 155 ;
– Le 21ème RAC à 3 groupes de 75 et une batterie antichars ;
– Le 221ème RAC à 2 groupes de 155.

Le régiment est déployé dans le secteur de Burtoncourt au Nord-est de Metz en appui de la 1ère Division d’infanterie coloniale.

10 mai 1940

Offensive allemande alors que la 1ère DIC se trouve au Nord-est de Verdun près de Montfaucon.

15 juin 1940

Le PC du régiment et le colonel Fady sont capturés par les Allemands à Combles en Barrois. Les 6ème et 7ème batteries sont anéanties.

20 juin 1940

Le 1er groupe est capturé à Pont sur Madon et le 2ème groupe cesse le combat à Housseville et les restes du 3ème groupe se rendent à Fraisnes en Saintois.

14 février 1941

La section d’artillerie de la Brigade Française d’Orient du lieutenant Quirot, arrivée à Souakim, au Soudan est placée sous le commandement du capitaine Laurent-Champrosay. C’est le début de l’épopée du RAFFL.

10 mars 1941

L’artillerie de la France libre tire ses premiers coups de canons lors des combats de l’Engiahat.

24 au 27 mars 1941

L’artillerie de la Brigade Française d’Orient prend part aux combats de la prise de Keren en Erythrée.

8 avril 1941

Prise de Massaoua par les Forces Françaises Libre et fin de la campagne d’Erythrée. La section d’artillerie de la BFO a tiré 2000 obus de 75 durant la campagne.

Mai 1941

Installation en Palestine au camp de Qastina et constitution de 2 batteries aux ordres des lieutenant Quirot et Chavanac. Cette dernière batterie a été constituée au Gabon à Pointe Noire.

8 juin au 14 juillet 1941

Les deux batteries participent à la campagne de Syrie contre les forces françaises du régime de Vichy.

16 juillet 1941

Installation au quartier Soudois à Damas et augmentation à quatre batteries avec les ralliements à la France Libre obtenus après l’armistice de Saint-Jean d’Acre.

19 décembre 1941

Avec l’artillerie des forces françaises libres, le chef d’escadron Jean-Claude Laurent-Champrosay forme le 1er RAFFL (Régiment d’Artillerie des Forces Françaises Libres) avec quatre batteries de canons de 75. 1ère batterie commandée par le capitaine Quirot, 2ème batterie commandée par le capitaine Chavanac, 3ème batterie commandée par le capitaine Gufflet et 4ème batterie commandée par le capitaine Morlon.

14 février au 11 juin 1942

Le 1er RAFFL occupe la position de Bir-Hakeim. Le chef d’escadron Laurent-Champrosay aménage la défense de la position et les batteries accompagnent les « jocks columns » à tour de rôle pour harceler les positions ennemies. Le 27 mai débute la bataille de Bir Hakeim qui prend fin le 11 juin avec la sortie de vive force de la position. (10ème inscription sur l’étendard). Parmi les 64 victimes du régiment, on déplore le capitaine Gufflet commandant la 3ème batterie.

Juillet 1942

Le régiment est regroupé dans le delta du Nil et est augmenté de la 5ème batterie commandée par le capitaine Marsault.  La lieutenant Rivié prend le commandement de la 3ème batterie. Il est rééquipé en matériel anglais, les quatre premières batteries avec des 25 pounders de 88 m/m et la 5ème batterie en 5.5 de 140 m/m.

28 août 1942

Le 1er RAFFL est cité à l’ordre de l’armée pour son action durant les combats de Bir Hakeim.

Octobre à novembre 1942

Le 1er RAFFL participe aux combats de l’El Himeimat et notamment lors de la bataille d’El Alamein. (11ème inscription sur l’étendard).

Décembre 1942 à avril 1943

Le 1er RAFFL est regroupé en Libye à Gambut en réserve des opérations qui se déroulent en Afrique du Nord depuis le mois de novembre.

1er au 13 mai 1943

Le 1er RAFFL, commandé par intérim par le chef d’escadron Gaulard, participe à la campagne de Tunisie et aux combats de Takrouna. Le régiment tire 26 500 coups de canon. (12ème inscription sur l’étendard).

30 juillet 1943

Le 1er RAFFL est cité à l’ordre de l’armée pour son action lors des batailles d’El Alamein et de Takrouna.

Août 1943 à avril 1944

Le 1er RAFFL est regroupé au camp de Zouara en Tripolitaine puis dans les environs de Tunis où il est une nouvelle fois réorganisé, fusionné avec le 2ème RAC et est équipé de matériel américain. Il est composé de quatre groupes, trois de 105 HM2 commandés par les chefs d’escadron Marsault, Jonas et Bruneton, un de 155 m/m commandé par le chef d’escadron Crespin.

7 au 11 mai 1944

Après avoir débarqué à Naples fin avril, le 1er RAFFL s’illustre aux combats du Garigliano et tire 50 000 coups de canon. (13ème inscription sur l’étendard). Il entame ensuite la remontée vers Rome avec l’ensemble du corps expéditionnaire français.

19 juin 1944

Décès du colonel Jean-Claude Laurent-Champrosay à Radicofani. Sa jeep saute sur une mine lors d’une reconnaissance. Après ces durs combats, la 1ère DFL est relevée et se regroupe autour du lac de Bolsena. Outre son chef, le 1er RAFFL a également perdu cinq commandants de batterie. L’intérim du commandement est assuré par le lieutenant-colonel Maubert.

15 juillet 1944

Le colonel Bert prend la commandement du 1er RAFFL. Le régiment est désigné pour participer au débarquement de Provence. Il embarque à Brindisi entre les 8 et 13 août.

16 août 1944

Le 1er RAFFL débarque dans la baie de Cavalaire. Il est immédiatement engagé dans les combats pour libérer Toulon le 26 août.

5 septembre 1944

Le 1er RAFFL défile dans Lyon libéré.

Décembre 1944

Le 1er RAFFL est rattaché aux Forces Françaises de l’Ouest et se dirige vers la Gironde pour réduire la poche de Royan.

26 décembre 1944

La 1ère DFL et le 1er RAFFL sont rappelés en urgence en Alsace afin de relever la 2ème DB envoyée dans les Ardennes.  

1er janvier au 9 février 1945

Le 1er RAFFL participe à la défense de Strasbourg et à la réduction de la poche de Colmar. (14ème inscription sur l’étendard) Au cours de ces combats, la 3ème batterie s’illustre à Herbsheim.

7 mars 1945

La 1ère DFL et le 1er RAFFL sont déplacés dans les Alpes.

13 mars 1945

La 3ème batterie est citée à l’ordre de la division pour son action lors des combats d’Herbsheim.

22 mars 1945

Le 1er RAFFL prend le nom de 1er Régiment d’artillerie coloniale

29 mars 1945

Le 1er RAFFL est cité à l’ordre de l’armée pour son action en Alsace

10 au 23 avril 1945

La 1ère DFL et le 1er RAC combattent dans le massif de l’Authion contre les Allemands.

8 mai 1945

Le 1er RAC alors en repos après sa relève dans l’Authion, célèbre la victoire avec deux pièces de 105 qui tirent 101 coups de canons depuis la place Masséna de Nice. Le régiment quitte la région le 30 mai pour remonter vers Paris afin de participer aux cérémonies de la victoire.

18 juin 1945

Le 1er RAC et ses quatre groupes passent sous l’arc de triomphe et défilent devant le général de Gaulle afin de célébrer la victoire sur le régime nazi.

7 août 1945

Le général de Gaulle décerne la Croix de la Libération au 1er RAC héritier du 1er RAFFL

24 septembre 1945

L’étendard du 1er RAFFL est décoré de la Croix de Guerre 1939-1945 et de la Croix de la Libération par le général de Gaulle à Chelles.

Novembre 1945

Les quatre groupes du régiment sont stationnés en région parisienne dont le III/1er RAC qui prend garnison à Provins au quartier Delort.

30 mars 1946

Le gouvernement ayant décidé de réduire drastiquement les effectifs des armées, le 1er RAC est dissout. Seuls les I/1er RAC et II/1er RAC sont conservés en groupes autonomes.

1er avril 1946

Le I/1er RAC, commandé par le chef d’escadron Quirot, prend garnison à Chambéry et le II/1er RAC, commandé par le chef d’escadron Morlon, prend garnison à Castres au quartier Drouot.

7 août 1947

Le I/1er RAC prend garnison à Belley aux quartiers Sibuet et d’Allemane.

12 juin 1948

Le I/1er RAC prend garnison à Dinan au quartier du Guesclin.

16 février 1949

Dissolution du II/1er RAC.

24 février 1949

Le I/1er RAC reçoit l’étendard du 11ème RAC, étendard historique du 1er RAC. L’étendard est une nouvelle fois modifié pour ce retour à son régiment d’origine.

31 mars 1950

Dissolution du I/1er RAC, commandé par le chef d’escadron Baron, qui devient le I/11ème RAC. C’est la seconde fois de son histoire que le 11ème RAC est créé à partir du 1er RAC.

1er avril 1951

Le 1er RAC est recréé et prend garnison à Melun au quartier Pajol et au Fort-Neuf de Vincennes.

18 juin 1952

Le quartier Pajol de Melun est rebaptisé quartier Laurent-Champrosay.

14 juillet 1952

Le président de la République, Vincent Auriol, remet le nouvel étendard du régiment au colonel Le Berre sur les Champs Elysées.

29 décembre 1952

Décision qui attribue l’inscription Bazeilles 1870 a l’étendard du 1er RAC

27 février 1956

Le bataillon de marche II/1er RAC est formé avec les 6ème et 13ème batteries, créées pour la circonstance, ainsi que les 4ème et 5ème batteries. Le bataillon participe aux opérations en Algérie jusqu’au 31 août 1962, date à laquelle il est dissout. (15ème inscription sur l’étendard)

1er juin 1956

Le régiment prend l’appellation de Centre d’Instruction Dépôt du 1er RAC. Sa mission est de préparer les contingents pour l’Algérie dans une mission d’infanterie. Le régiment perd sa mission artillerie.

1er décembre 1958

Les troupes coloniales deviennent troupes de Marine : le CID 1er RAC devient CID 1er RAMa.

1er juin 1964

Le régiment fait partie des unités sauvegardée lors de la nouvelle réorganisation des armées. Il retrouve sa mission d’artillerie et reprend la dénomination de 1er RAMa. Il est constitué d’une batterie de commandement et des services, de quatre batteries sol-sol équipées de 105 HM2 et d’une batterie sol-sol équipée de 155 BF 50. 

22 février 1966

Le 1er RAMa devient régiment de la 12ème Division Militaire Territoriale de Paris qui dépend de la 1ère Région Militaire chargée de la Zone de Défense de Paris.

1er septembre 1967

Le 1er RAMa devient le régiment d’artillerie organique de la 2ème Brigade Motorisée, héritière de la 2ème Division Blindée dissoute.

1970

Le 1er RAMa est doté de canons automouvant de 155 m/m AMF3 monté sur châssis AMX 13.

1er septembre 1977

Le 1er RAMa change de garnison et rejoint le quartier Picard à Montlhéry.

1er juillet 1979

Le 1er RAMa devient régiment de la 2ème Division Blindée qui vient d‘être recréée. La 4ème batterie sol-sol est créée conformément à la nouvelle organisation des régiments d’artillerie.

05 juillet 1986

Jumelage avec le 1er Régiment d’Artillerie de Campagne (1er RAC ou 1A) belge à l’occasion des festivités organisées pour le 150ème anniversaire du 1A.

21 mai 1990

Le 1er RAMa est doté de canons automoteur de 155m/m AUF1 montés sur châssis AMX 30.

Juillet 1992

La 11ème batterie d’instruction est transformée en Batterie de Défense et d’Instruction (BDI).

2 août 1993

Après avoir été successivement basé à Melun puis Montlhéry, le régiment s’installe au quartier Mangin de Laon-Couvron.

1er août 1995

La 4ème batterie est transformée en Batterie Des Opérations. Elle regroupe l’ensemble des moyens de commandement et des détachements de liaison et d’observation.

1995 – 1996

Le 1er RAMa, qui débute sa professionnalisation, envoie différents détachements en ex-Yougoslavie, au sein de la Force de Réaction Rapide (bombardement de batteries serbes au Mont-Igman) ou de l’IFOR, chargée de faire respecter les accords de Dayton.

18 juin 1996

L’étendard du 1er RAMa est décoré de la fourragère aux couleurs du ruban de l’ordre de la libération par le Président de la République, M. Jacques Chirac.

11 juillet 1997

La 4ème batterie est recréée en batterie sol-sol.

7 mai 1998

La 5ème batterie, unité de réserve, est créée à partir des effectifs de trois régiments de réserve dissous : le 45ème régiment d’infanterie de Laon, le 67ème régiment d’infanterie de Soissons et le 243ème régiment d’infanterie de Lille.

Juillet 1998

La BDI est transformée en Batterie de Base et d’Instruction (BBI).

21 juin 1999 – 8 septembre 1999

Conformément au mandat de l’OTAN, la brigade Leclerc stationnée en Macédoine entre au Kosovo. Le 1er RAMa arme le BAMAK constitué de 281 hommes et de 8 AUF1 aux ordres de son chef de corps le colonel Gérard puis du Lieutenant Colonel Laumont.

17 octobre 2002

La BBI est transformée en Batterie d’Administration et d’Instruction (BAS).

6 décembre 2004

Décision qui attribue l’inscription AFN 1952-1962 a l’étendard du 1er RAMa

2003 – 2004

Le 1er RAMa projette la 2ème batterie en République de Côte d’Ivoire en configuration PROTERRE. C’est la première fois qu’une unité PROTERRE est envoyée en opération.

30 novembre 2006

La 6ème batterie est créée. Cette unité de réserve est constituée par la compagnie de réserve du 6ème régiment d’hélicoptères de combat de Compiègne dissous. Cela porte à 9 le total des batteries du régiment, soit un effectif jamais atteint depuis de nombreuses années.

2006

Le 1er RAMa projette la 2ème batterie pour armer le GA 4 (Groupe d’Artillerie à 4 pièces AUF1) au Liban dans le cadre de la FINUL renforcée.

21 août 2007

Le 1er RAMa expérimente la 1ère batterie de renseignement de brigade constituée à partir de la 4ème batterie. 

10 juin 2009

Le 1er RAMa reçoit ses quatre premiers canons CAESAR.

26 juin 2009

La BDO est dissoute et ses éléments sont réintégrées dans les batteries de tir et à la batterie de commandement et de logistique.

8 juillet 2009

Le 1er RAMa rejoint la 1ère Brigade Mécanisée héritière de la 1ère Division Française Libre.

16 décembre 2010

Conformément à la réorganisation des régiments d’artillerie à deux batteries sol-sol, la 3ème batterie est mise en sommeil.

7 avril 2011

La 6ème batterie de réserve est dissoute et ses effectifs incorporés à la 5ème batterie.

5 avril 2011

Avec la création des Centre de Formation Initiale des Militaires du rang, la BAS est dissoute.

19 avril 2011

Le dernier AUF1 quitte le régiment après 21 ans de bons et loyaux services.

23 juin 2011

La 1ère batterie est dissoute et la 3ème batterie est recréée comme batterie sol-sol.

28 juin 2011

La 4ème batterie/BRB est mise en sommeil. La 1ère batterie est recréée et reprend la mission de batterie de renseignement de brigade.

1er juillet 2012

Le 1er RAMa prend garnison à Châlons en Champagne au quartier Corbineau. Il remplace le 402ème RA dissous. La 4ème batterie est réactivée et transformée en unité sol-air par intégration d’une batterie du 402ème RA.

Octobre 2014

A la suite des restructurations ordonnées en 2013, le chef d’état-major de l’armée de terre décide de dissoudre le 1er RAMa ainsi que la 1ère BM.

2014-2015

Malgré l’annonce de la dissolution, les batteries continuent leurs missions. La 2ème batterie participe à l’opération SANGARIS en République Centrafricaine et la 3ème batterie est déployée au 5ème RIAOM à Djibouti.

12 mai 2015

Le régiment tire ses derniers coups de canon sur la camp de Suippes en présence du général commandant la 1ère BM et du chef de corps.

30 juin 2015

Cérémonie de dissolution du 1er RAMa à Châlons en Champagne. L’étendard est roulé par le général d’armée Bosser, chef d’état-major de l’armée de terre.   

31 juillet 2015

Le 1er RAMa est dissout pour la 4ème fois. 

31 août 2015

La garde de l’étendard du 1er RAMa est confiée au 11ème RAMa. 

21 mai 2019

La garde de l’étendard du 1er RAMa est confiée au CFIM de la 9ème BIMa de Coëtquidan lors d’une cérémonie aux Invalides.